JEUNESSE - Les modèles culturels

JEUNESSE - Les modèles culturels
JEUNESSE - Les modèles culturels

La culture est à la fois une technique d’utilisation de l’énergie, une symbolisation rituelle de l’existence et un système de valeurs. L’objet de l’éducation est d’adapter les jeunes générations à cette triple structure dans laquelle elles sont destinées à vivre. L’éducation ajuste les adolescents aux comportements intellectuels, émotionnels et pratiques des adultes et, en les accoutumant à la culture de leur pays et de leur siècle, elle leur permet, par-delà le «dressage», d’assumer leur personnalité et d’affirmer, sur des bases saines, leur liberté.

Or cette adaptation organique et vitale rencontre actuellement des obstacles plus difficiles à surmonter qu’autrefois. Il y a, en effet, une crise de la culture; le contenu de la culture traditionnelle est contesté; il l’est globalement dans les trois significations qu’on vient d’indiquer: la civilisation industrielle est mise en cause, avec toutes les conventions qui rendent possibles la vie sociale et la plupart des valeurs qui leur sont liées. D’autre part, la transmission de la culture se fait mal dans une civilisation technicienne et matérialiste où le savoir et les aptitudes professionnelles, c’est-à-dire l’efficacité, l’emportent de beaucoup sur la formation spirituelle et morale: une culture réduite à des compétences techniques, enseignée par des instructeurs et entretenue par des experts, est incapable de séduire les jeunes. Quant aux valeurs que la culture technicienne ne peut plus nourrir et ne sait plus transmettre, la jeunesse les tire de l’environnement, de l’école dite parallèle; ces valeurs ne sont trop souvent que l’inversion des valeurs traditionnelles.

Enfin, l’accélération de l’histoire a pour effet d’accroître les malentendus qui ont toujours existé entre les jeunes et les adultes. Dans un environnement social, moral et technologique en rapide changement, la culture qui assurait la socialisation, la sagesse et le bonheur de vivre des aînés n’est plus reçue par les cadets que comme convention, décor fatigué ou pur mensonge.

Le problème de la création d’une culture ouverte, authentique, capable de recueillir l’adhésion des jeunes, de leur faire aimer la civilisation moderne et de leur donner des raisons de vivre, apparaît ainsi aujourd’hui comme une question primordiale, peut-être comme la question suprême, celle qui, dans l’avenir, dominera toutes les autres puisqu’il s’agit de la survie de cette civilisation.

1. La crise de la culture

On essaiera de décrire la crise de la culture non pas du point de vue des aînés, mais du point de vue des jeunes contestataires qui mettent en question les valeurs traditionnelles.

La société

Une raison fondamentale de la contestation vient du fait que la société est bâtie sur des valeurs telles que le profit, la concurrence, le développement matériel à outrance des individus et des peuples déjà nantis. Il y a une distorsion évidente entre la sagesse héritée du passé que l’on continue à professer et le monde que l’on construit. Ce monde ne suscite et ne favorise qu’une culture technicienne qui, si elle assure la compétence de l’expert, tend à frustrer les aspirations de l’homme. La culture se réduit ainsi à une information précise en vue d’un métier, assortie d’un pêle-mêle d’informations disparates apportées par les mass media. Impressionnante parfois par son volume, cette culture n’approfondit guère, n’intériorise pas et donc, loin de libérer, tend à rendre passif. Sans être despotique, elle manipule les esprits, leur imposant plus ou moins le même modèle de pensée et d’action, ce qui aboutit en fait à l’inculture et par suite suscite dans la jeunesse du monde entier le même type de révolte.

L’école

En face de cette inculture généralisée, l’école aurait pu être le lieu de l’approfondissement, de l’ordre, de la prise de conscience libératrice. Or il n’en est rien. Au service de la société qui l’alimente, l’école forme des professionnels; la culture qu’elle dispense est toute intellectuelle et mécanisante; la part qu’on y fait à la formation de l’affectivité est dérisoire (à l’image de la misère affective dont souffre l’individu dans la société moderne). Lewis Mumford dit que l’école, tout en produisant des experts fort habiles dans leur spécialité, a généralisé une culture d’enfants de dix ans, et Ivan Illich (après Nietzsche et D. H. Lawrence) ose mettre en question radicalement tout le système scolaire occidental qui, dit-il, tout en raffinant le montage des automatismes intellectuels, laisse les instincts dans l’inculture la plus sauvage. Il le compare à un rite initiatique à degrés successifs, orienté vers l’obtention de diplômes. Il n’y a là rien d’éducatif, car l’examen et le diplôme ne sont ni intériorisants ni libérateurs. Au reste, loin de développer et d’épanouir les aspirations de la jeunesse, l’école aurait plutôt tendance à les brimer en imposant ses contraintes à l’imagination, à la sensibilité des enfants. La vérité qu’elle enseigne est de type technologique et «bureaucratique», ainsi qu’il apparaît dans les études de Chombart de Lauwe et Mumford. Cette vérité scolaire reste encore enveloppée, dans certains milieux, d’un idéalisme stéréotypé d’origine chrétienne, qui ne dépasse pas l’univers du discours et contribue à discréditer la morale aux yeux des plus exigeants. À vrai dire, ce n’est plus par l’école que se transmet la culture, mais par l’ensemble des mass media qui constituent ce que MacLuhan appelle la «culture électronique» et dont les informations se transmettent de façon synthétique par le son et l’image, au lieu de suivre le canal de l’analyse intellectuelle et de la pensée discursive et imprimée.

2. Les trois cultures

L’éclatement de la culture est le signe objectif de la crise qu’elle traverse. En effet, trois cultures dont les valeurs, le langage, les modes de transmission et les qualités sont diamétralement opposés, sont en compétition à l’heure actuelle dans les jeunes esprits.

La première est constituée par l’ensemble des valeurs dites humanistes, que l’objectivité froide du monde actuel ne nourrit plus mais que l’on continue à enseigner et à pratiquer par habitude. Ces valeurs sont nées et ont fleuri dans un environnement très différent à tous égards de celui du XXe siècle. Elles ne s’enracinent plus dans la vie moderne et elles tendent à se constituer en discours clos, en un endoctrinement idéologique que les esprits alertés et critiques se refusent désormais à recevoir. Nicolas Rescher a insisté sur l’interliaison des valeurs et de la technologie; le progrès technique a rendu des adolescents précocement responsables de leur conduite en leur offrant quantité de possibilités nouvelles. Mais pour tempérer ces pouvoirs et mettre de l’ordre dans les conduites, on en est toujours réduit à prôner la vieille morale répressive et dogmatique. Cette morale, Jean Fourastié a montré qu’elle était née dans des siècles de pénurie et qu’elle n’était absolument plus valable dans la société d’abondance que décrit J. K. Galbraith. La sagesse qui vient des générations passées manque d’intérêt: elle est parfois répulsive, en tout cas sans impact spirituel sur les jeunes. Ses principes (tempérance, renoncement, économie, labeur, etc.) qui, jadis, trouvaient leur justification dans l’expérience, sont partout démentis par les faits: la divergence croissante entre les mœurs (réelles) et la morale (théorique) ridiculise cette dernière et toute la culture séculairement fondée sur cette morale, avec le vocabulaire qui leur est attaché.

La deuxième culture est celle qu’imposent dès l’enfance la connaissance scientifique et toutes les disciplines ou automatismes de la pensée objective et discursive. Cette culture a assuré la puissance et le progrès de l’homme contemporain, nouveau Prométhée. Aussi domine-t-elle toute l’activité scolaire. Malheureusement, la pratique quotidienne de la logique abstraite n’a pas rendu les hommes plus rationnels dans leur conduite. Elle a contribué, au contraire, à favoriser la coupure entre l’intellectuel et l’instinctif; on s’est aperçu que la science pouvait fort bien voisiner avec une sorte de barbarie, et qu’un savoir morcelé et hautement spécialisé coïncidait parfois avec une régression des qualités de civilisation, de respect de l’homme, de socialité, etc.

C’est ce qui a permis l’explosion agressive de la troisième culture , celle qui, à l’heure actuelle, est la seule vraiment vivante, née dans le vide qui s’ouvrait entre la sagesse traditionnelle périmée et la production accélérée du robot technicien. Étrange culture où toutes les valeurs semblent inversées et qui cherche l’authenticité, la ferveur, l’énergie vitale que lui refuse l’éducation moderne dans l’expansion cynique des instincts, la fête permanente, la fraternité juvénile. La culture que se sont donnée les jeunes, avec ses costumes, ses rites, ses idoles, son langage, ses arts et ses lettres, résulte d’une frustration culturelle. Nombre de sociologues (tel Roderick Sridenberg dans son Posthistoric Man ) prévoyaient pour l’avenir une culture de plus en plus robotisée et uniformisée; on ne s’attendait pas, naguère, à voir la jeunesse s’insurger instinctivement et massivement contre la culture rationnelle et rationalisée que la société industrielle lui préparait. Par une réaction vitale, dont le fond est sain mais les manifestations souvent scandaleuses et puériles, la jeunesse a tenté de se donner une contre-culture qui l’aide à vivre, mais dont la violence et le caractère irrationnel portent la marque du désordre dont elle est née. Suscitée par la crise de la culture, elle tente désespérément et parfois tragiquement d’en compenser les manques et les frustrations. Ses excès ne sont que la réponse violente à une violence moins visible mais non moins traumatisante, tout particulièrement pour des esprits jeunes, non encore résignés à l’inhumanité de la société industrielle.

3. La culture en formation

L’indifférence et souvent la répugnance des jeunes à l’égard de la culture traditionnelle, leur effort pour créer une contre-culture, l’impuissance des adultes à vivre selon les principes de leur propre culture et à transmettre celle-ci à leurs enfants, tout cela dénote une période de transition entre une décadence et une renaissance. Une culture de classe – celle de la classe bourgeoise – sans assise ni résonance populaires, réduite le plus souvent à un certain discours, en contradiction perpétuelle avec les valeurs et les pratiques en vigueur dans la société, ne peut être qu’une rémanence en voie de disparition; elle porte d’ailleurs tous les signes de sa déchéance et elle provoque par réaction le cynisme et le nihilisme. Devant ce cynisme, il est probablement trop tard – et ce serait maladroit – pour multiplier les interdictions et les actes de répression: quand une culture ne se défend plus que par sa police, elle se condamne à mort. Aux hommes en uniforme, ses ultimes défenseurs, les danseurs hippies, une fleur à la main, opposaient naguère l’insolence joyeuse d’une contre-culture qui rend l’autre presque dérisoire. C’est peut-être de leur côté qu’il faut se tourner si l’on veut entrevoir ce que sera la culture de demain. On ne fabrique pas une culture de toutes pièces, l’idéologie et la pratique qui la caractérisent ne peuvent être que le développement et la consolidation des aspirations et des valeurs en vigueur dans le corps social, et surtout parmi les jeunes.

Quelles sont donc actuellement ces aspirations et ces valeurs?

Une culture scientifique

On ne freinera pas le cynisme juvénile par la force ou par la persuasion, mais par l’information, c’est-à-dire en expliquant les conséquences morbides et traumatisantes de certaines conduites. L’homme actuel ne cède que devant les faits; il soumet à son esprit critique tout ce qu’on lui propose. Cet effort de lucidité, conséquence de la pratique scientifique, est désormais à la base de la morale. Ses exigences sont sévères: sincérité, transparence, logique et cohérence dans la conduite, efficacité. L’ère scientifique et technique impose ses valeurs et engendre sa morale.

Cette morale requiert une information totale, portant en particulier sur les sciences humaines. Les jeunes doivent être précocement informés de tout ce qui intéresse leur vie quotidienne: problèmes psychologiques, sociaux, économiques et politiques; questions concernant la santé, la sexualité, l’usage des stupéfiants, etc. Il est urgent que l’école, prenant conscience de ses responsabilités et de sa mission culturelle, suscite des professeurs d’«éducation générale» qui ne soient ni des moralistes ni de simples lettrés, mais des gens informés dans toutes les sciences humaines, capables de jouer ce rôle d’introducteurs à la civilisation que les parents et les maîtres traditionnels ne peuvent plus tenir. Selon Socrate, l’homme ne choisit jamais consciemment le mal: en effet, si les jeunes trop souvent s’engagent dans des impasses, se ruinent physiquement et moralement, c’est surtout par imprudence et faute d’information. Le monde actuel est assoiffé de vérités positives et indiscutables qui permettront la naissance d’une nouvelle culture pratique et humaniste. Elle sera même plus humaniste et libératrice que la précédente, puisqu’elle laisse à chacun, au lieu d’interdire, le soin de décider de sa conduite en pleine conscience et connaissance de cause: la sélection naturelle favorise ceux qui choisissent la santé, l’équilibre et le bonheur. Dans un autre ordre d’idées, l’inculture des jeunes dans le domaine économique et politique explique le caractère souvent puéril de leurs slogans et de leurs idéologies. Ils sont mal informés parce que l’école, conditionnée par la société de production, ne songe qu’à fabriquer des agents utiles et, très secondairement, des citoyens avertis. La lecture commentée et critique du journal par un maître autorisé serait, par exemple, un moyen élémentaire d’initiation à la culture actuelle qui remplacerait avantageusement le hasard des conversations, des rencontres et des images de l’école «parallèle», c’est-à-dire de la rue. Dans ces perspectives, l’éducation, de l’école à l’université, prend une importance croissante: elle est située à la charnière entre la nouvelle génération et la société des adultes; son rôle est de «civiliser» les jeunes, c’est-à-dire de les informer parfaitement des problèmes qu’ils auront à affronter plus tard. D’ailleurs ce genre d’information dont ils se sentent obscurément privés les passionne. Au lieu de peser sur les esprits (comme il arrive dans la formation technique et professionnelle), la science, dans ce cas, est libératrice: loin d’uniformiser les individus selon un modèle standard, elle leur permet d’avoir des réactions personnelles et réfléchies. C’est sur ce plan que se situe désormais le véritable humanisme.

Une culture esthétique

On prendra le mot esthétique dans son sens le plus large: il s’agit de l’affectivité en général. Le monde actuel est à la fois sévère et excitant; sévère par la rationalisation et la fonctionnalisation de l’existence, excitant par le conditionnement, techniquement très poussé, des plaisirs et dérivatifs sensuels qu’il offre aux instincts frustrés. Pour créer une culture vivante, il faut dépasser cette divergence et permettre un épanouissement global et équilibré de l’être humain. Les progrès mêmes des techniques, la croissance des loisirs dans les sociétés postindustrielles, les moyens de création et de culture de l’âge postlittéraire (images, arts, théâtres, etc.), l’urbanisation totale avec toutes les rencontres, manifestations multiples, congrès, expositions, festivals, etc., qu’elle rend possibles, tout cela annonce une ère nouvelle de la culture. La ville, organisée jusqu’ici pour l’hébergement et la production, doit se convertir, sous la pression d’un besoin vital, en lieu d’épanouissement culturel, c’est-à-dire favorable à la pratique de tout ce qui donne de la joie à la vie, depuis le sport jusqu’à la poésie, en passant par les activités artisanales, la création plastique ou musicale. Des esprits aussi différents que Herbert Marcuse, Riesman, Lynn White, Mumford, Harvey Cox ont attiré l’attention sur les méfaits de la cité moderne où rien ne favorise l’expansion de la fantaisie, où les plaisirs trop conditionnés laissent une impression de tristesse. Seule une infime minorité peut jouir des manifestations culturelles, trop raffinées et savantes pour le peuple à qui ne restent que d’artificiels carnavals, des parades ou des vulgarités. La fuite dominicale hors des villes est le signe qu’aucun intérêt culturel n’est actuellement capable de rompre la lourde carapace d’ennui qu’entretient la civilisation industrielle. Dans un tel contexte, on ne saurait exagérer l’importance des maisons des jeunes et de la culture. Leur présence ranime l’âme des quartiers en y implantant un lieu de création libre, de jeu gratuit, de confrontation et de controverses passionnées.

L’expérience paraît bien engagée, mais l’on ne saurait encore préjuger ses résultats: c’est peut-être le début d’une mutation par laquelle la société moderne s’ouvrira aux valeurs gratuites et désintéressées indispensables à la vie humaine. Rollo May, Erich Fromm ont parlé de l’entropy trap , ce piège que tend la perfection de l’organisation et de l’ordre: une société se stabilisant dans l’ennui et le dégoût de vivre, et dégénérant peu à peu dans la froideur et l’indifférence. Société techniquement réussie mais vitalement insupportable où l’insurrection, la violence destructrice, la drogue, n’importe quelle folie valent mieux que le silence mortel de l’ordre. C’est ce choix déchirant entre le robot et l’insurgé qu’il faut éviter d’imposer à la jeunesse. On ne l’évitera qu’en lui offrant une troisième voie – celle qui continue l’effort millénaire de toute la civilisation –, en lui proposant de participer à une culture à la fois créatrice et critique, épanouissante pour les sens, l’imagination et l’affectivité, et capable de compenser les servitudes et les désagréments de la société industrielle. Les clés de l’avenir ne sont pas seulement entre les mains des technocrates et des managers: elles sont aussi et surtout, désormais, entre les mains des artistes, des poètes et de tous les créateurs et animateurs culturels.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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